Touches pas à ça la blonde
P.... Y fait chaud !!
Attention John, meci de bien dégager derrière les oreilles
Retour vers le futur
Pat a enfin trouvé la tondeuse qui devrait bien aller à Warhem
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19 Mai 2009 : Springfield IL - Joliet IL, 5531 miles au compteur des bécanes
Hier par 2 fois dans la journée, nous nous sommes fait bloquer par un trin de marchandises - on n'a jamais rencontré encore de trains de voyageurs – une première fois en sortant de la banlieue de Saint Louis, ça allait car il n'y avait que 2 motrices, la seconde fois dans l'après-midi ici et en plein quartier black, 135 wagons (je sais je les ai comptés, ça a pris au moins 15mn) qui passaient au ralenti, tractés par 3 motrices et poussés par un locomotive, pendant ce temps là on avait posé les motos moteurs coupés sur leurs béquilles et on a eu le temps de regarder les lapins s'exciter comme nous à attendre que le train en finisse.
Springfield n'est pas que la ville de la famille Simpson, elle est aussi la ville natale de Abraham Lincoln dont on voit l'image à tous les coins de rues : ici l'endroit où il est né, là le lieu où il est allé en classe, ailleurs le site de ses premières amours, ils ont repéré tous les endroits de sa vie springfieldienne.
Ce matin, petite visite à la concession Harley Davidson de Springfield avant de partir, ça tombe bien notre motel est à 2 miles de là, il y a quelques soldes intéressantes (75% de rabais) sur certains articles invendus estampillés 105ème anniversaire, j'en profite pour récupérer un drapeau à accrocher sur mon sissi-bar pour une véritable misère, je sais ça fait beauf, mais moi j'aime bien, c'est quand même mieux qu'un chien en plastique qui bascule la tête sur une plage arrière de bagnole. Nous repartons ensuite en direction du Nord, pour tenter de retrouver la 66 à la sortie de Springfield, en fait, il faut reprendre l'autoroute I-55 North et sortir 5 miles plus loin pour la rattraper à Williamsville, on tombe pile sur un Antique Mall super achalandé, avec des objets assez hétéroclites et toujours de très bonne qualité, une foultitude d'objets autour de Disney (des mickeys à la pelle pour ma petite marraine, mais nous n'avons pas suffisamment de place, comme c'est dommage) ou des vieux jouets en fonte, ou encore des bronzes de toute beauté représentant des scènes du farwest, c'est magnifique, et forcément également un peu cher. On repart, à la ville suivante, Elkhart, à nouveau un Antique Mall, nous stoppons (nous n'avons que ça à faire dans la journée) et là une belle collection d'objets plus ou moins anciens où on trouve notre bonheur sans difficulté, Domi doit commencer à en avoir marre, mais ainsi de cette façon il fait des économies, puisque ces arrêts ne semblent pas trop l'intéresser. En suivant un des tracé de la route (il y en a trois différents) en arrivant près de la ville de Lincoln (hé oui, encore lui) celui-ci nous fait contourner la ville, résultat nous loupons Lincoln et tout ce qu'on aurait pu y voir ou visiter. Dommage car je reviens rarement sur mes traces, donc nous poursuivons jusqu'à Atlanta où le tracé de la route nous mène au pied d'un géant qui tient un hotdog monstrueux dans les mains, il est situé juste en face du musée de la ville, la vieille dame qui s'en occupe nous invite à le visiter gratuitement, il est en phase de préparation et nous avons droit à un petit film de 5 mn sur la ville d'Atlanta qui n'a rien à voir avec l'autre où il y a l'aéroport international, celle-ci compte 1500 âmes seulement et a vu dans son histoire, outre le géant, passer et s'arrêter là une fois seulement le Président Abraham Lincoln, ils en font toute une histoire et ils ont bien raison car à part ça il ne doit pas se passer ou s'être passé grand chose à Atlanta Illinois.
En tout cas, nous sommes très bien reçus en tant que français, à moto de surcroît et pour couronner le tout en moto américaine.
C'est vrai que la moto permet à chaque fois que l'on s'arrête de provoquer des rencontres, les gens qui ne sont pas motards viennent naturellement parler avec nous, nous dire qu'ils aiment cette moto, pour le bruit qu'elle fait, le look ou l'attitude qu'elle procure, on nous demande où nous allons, d'où on vient et quand ils apprennent que nous sommes français et que nous avons parcouru tous ces miles dans leur pays, alors là c'est l'euphorie totale, ils sont tout contents et nous complimentent sur notre beau pays, qu'ils connaissent en général par un ami qui s'y est rendu ou eux mêmes, ce matin nous avons eu à faire à un ancien militaire, basé à Nancy, qui a passé 3 mois en France, cette après-midi c'était mon barbier qui avait été à Paris pendant qu'il était caserné 6 mois à la base aérienne d'Evreux; et c'est toujours comme ça, on ne compte plus les discussions que nous avons eues avec des gens de la rue qui nous interpellent lorsque nous descendons de la moto.
On profite de notre pause un peu longue à Atlanta pour finaliser notre petit-déjeuner dans le petit café attenant au musée: steack, omelette et ashbrown avant de reprendre la route en direction de Bloomignton, où là nous stoppons chez le concessionnaire HD local (c'est le concessionnaire ou le musée, il faut choisir), passage obligé obligatoire, après tout j'ai eu un certain nombre de commandes d'articles qu'il faut que j'honore avant de revenir en France.
Pour l'instant on ne s'encombre pas trop car l'espace de sotckage est assez peu extensible, malgré le sac que trimballe Domi depuis le départ et qui commence à prendre de l'envergure, on attend d'être arrivés à Chicago pour compléter les listes de commandes, comme nos achats personnels; jusqu'à présent nous avons acheté ce qu'il faut pour se changer au long du trajet.
Retour sur la route 66 avec des arrêts de plus en plus fréquents tout au long de la route pour y voir ici une vieille station service Texaco réhabilitée, là une maison ancienne (le terme ancien est toujours relatif) ou une vieille auto ou la marque « Route sixty six » peinte à même le macadam.
Nous croisons de plus en plus de motards descendant de chicago pour faire la route en sens inverse de nous, au cours d'un stop nous avons même rencontré 4 motards américains et un couple de Leipzig en goguette visitant la même vieille station service que nous mais dans l'autres sens, salut, pignée de main échange de prénoms et de « bonnes chances » et on repart chacun dans sa direction.
Hier par 2 fois dans la journée, nous nous sommes fait bloquer par un trin de marchandises - on n'a jamais rencontré encore de trains de voyageurs – une première fois en sortant de la banlieue de Saint Louis, ça allait car il n'y avait que 2 motrices, la seconde fois dans l'après-midi ici et en plein quartier black, 135 wagons (je sais je les ai comptés, ça a pris au moins 15mn) qui passaient au ralenti, tractés par 3 motrices et poussés par un locomotive, pendant ce temps là on avait posé les motos moteurs coupés sur leurs béquilles et on a eu le temps de regarder les lapins s'exciter comme nous à attendre que le train en finisse.
Springfield n'est pas que la ville de la famille Simpson, elle est aussi la ville natale de Abraham Lincoln dont on voit l'image à tous les coins de rues : ici l'endroit où il est né, là le lieu où il est allé en classe, ailleurs le site de ses premières amours, ils ont repéré tous les endroits de sa vie springfieldienne.
Ce matin, petite visite à la concession Harley Davidson de Springfield avant de partir, ça tombe bien notre motel est à 2 miles de là, il y a quelques soldes intéressantes (75% de rabais) sur certains articles invendus estampillés 105ème anniversaire, j'en profite pour récupérer un drapeau à accrocher sur mon sissi-bar pour une véritable misère, je sais ça fait beauf, mais moi j'aime bien, c'est quand même mieux qu'un chien en plastique qui bascule la tête sur une plage arrière de bagnole. Nous repartons ensuite en direction du Nord, pour tenter de retrouver la 66 à la sortie de Springfield, en fait, il faut reprendre l'autoroute I-55 North et sortir 5 miles plus loin pour la rattraper à Williamsville, on tombe pile sur un Antique Mall super achalandé, avec des objets assez hétéroclites et toujours de très bonne qualité, une foultitude d'objets autour de Disney (des mickeys à la pelle pour ma petite marraine, mais nous n'avons pas suffisamment de place, comme c'est dommage) ou des vieux jouets en fonte, ou encore des bronzes de toute beauté représentant des scènes du farwest, c'est magnifique, et forcément également un peu cher. On repart, à la ville suivante, Elkhart, à nouveau un Antique Mall, nous stoppons (nous n'avons que ça à faire dans la journée) et là une belle collection d'objets plus ou moins anciens où on trouve notre bonheur sans difficulté, Domi doit commencer à en avoir marre, mais ainsi de cette façon il fait des économies, puisque ces arrêts ne semblent pas trop l'intéresser. En suivant un des tracé de la route (il y en a trois différents) en arrivant près de la ville de Lincoln (hé oui, encore lui) celui-ci nous fait contourner la ville, résultat nous loupons Lincoln et tout ce qu'on aurait pu y voir ou visiter. Dommage car je reviens rarement sur mes traces, donc nous poursuivons jusqu'à Atlanta où le tracé de la route nous mène au pied d'un géant qui tient un hotdog monstrueux dans les mains, il est situé juste en face du musée de la ville, la vieille dame qui s'en occupe nous invite à le visiter gratuitement, il est en phase de préparation et nous avons droit à un petit film de 5 mn sur la ville d'Atlanta qui n'a rien à voir avec l'autre où il y a l'aéroport international, celle-ci compte 1500 âmes seulement et a vu dans son histoire, outre le géant, passer et s'arrêter là une fois seulement le Président Abraham Lincoln, ils en font toute une histoire et ils ont bien raison car à part ça il ne doit pas se passer ou s'être passé grand chose à Atlanta Illinois.
En tout cas, nous sommes très bien reçus en tant que français, à moto de surcroît et pour couronner le tout en moto américaine.
C'est vrai que la moto permet à chaque fois que l'on s'arrête de provoquer des rencontres, les gens qui ne sont pas motards viennent naturellement parler avec nous, nous dire qu'ils aiment cette moto, pour le bruit qu'elle fait, le look ou l'attitude qu'elle procure, on nous demande où nous allons, d'où on vient et quand ils apprennent que nous sommes français et que nous avons parcouru tous ces miles dans leur pays, alors là c'est l'euphorie totale, ils sont tout contents et nous complimentent sur notre beau pays, qu'ils connaissent en général par un ami qui s'y est rendu ou eux mêmes, ce matin nous avons eu à faire à un ancien militaire, basé à Nancy, qui a passé 3 mois en France, cette après-midi c'était mon barbier qui avait été à Paris pendant qu'il était caserné 6 mois à la base aérienne d'Evreux; et c'est toujours comme ça, on ne compte plus les discussions que nous avons eues avec des gens de la rue qui nous interpellent lorsque nous descendons de la moto.
On profite de notre pause un peu longue à Atlanta pour finaliser notre petit-déjeuner dans le petit café attenant au musée: steack, omelette et ashbrown avant de reprendre la route en direction de Bloomignton, où là nous stoppons chez le concessionnaire HD local (c'est le concessionnaire ou le musée, il faut choisir), passage obligé obligatoire, après tout j'ai eu un certain nombre de commandes d'articles qu'il faut que j'honore avant de revenir en France.
Pour l'instant on ne s'encombre pas trop car l'espace de sotckage est assez peu extensible, malgré le sac que trimballe Domi depuis le départ et qui commence à prendre de l'envergure, on attend d'être arrivés à Chicago pour compléter les listes de commandes, comme nos achats personnels; jusqu'à présent nous avons acheté ce qu'il faut pour se changer au long du trajet.
Retour sur la route 66 avec des arrêts de plus en plus fréquents tout au long de la route pour y voir ici une vieille station service Texaco réhabilitée, là une maison ancienne (le terme ancien est toujours relatif) ou une vieille auto ou la marque « Route sixty six » peinte à même le macadam.
Nous croisons de plus en plus de motards descendant de chicago pour faire la route en sens inverse de nous, au cours d'un stop nous avons même rencontré 4 motards américains et un couple de Leipzig en goguette visitant la même vieille station service que nous mais dans l'autres sens, salut, pignée de main échange de prénoms et de « bonnes chances » et on repart chacun dans sa direction.
Tous ces arrêts nous mènent à Pontiac, à100 miles de notre lieu de départ matinal. Stop au centre de la ville qui est déjà de bonne importance avec 11500 habitants, nous visitons un musée consacré à la route 66 (tiens donc) et qui expose de jolies photos des sites insolites de la route. Il est doublé à son rez de chaussée d'un magasin de souvenirs, le Old City Hall Shoppes où nous trouvons quelques pin's pour agrémenter notre collection de cacas sur la route En sortant, je tombe sans me faire de mal sur le barber shop de la ville, et John le barber se fait une joie de me faire une boule à zéro à 12$ dans son échoppe à l'ancienne comme dans les années 50, c'est en me rasant la tête qu'il va me raconter sa visite en France pendant son service militaire en 1964, il aura 69 ans Dimanche pendant le Memorial Day.
Nous poursuivons via Dwight; Gardner, Godley, Wilmington vers Joliet, et à chaque fois il y a quelque chose à voir et à photographier le long de cette route. C'est vraiment le paradis de tous ceux qui aiment la mécanique en particulier et aussi les beaux endroits en général. En plus la route, qui se matin avait tendance à suivre le tracé de l'interstate s'en éloigne de plus en plus et ce n'est pas pour nous déplaire. Elle est quasi déserte si on compare à la circulation autoroutière et c'est vraiment reposant car on peut laisser son regard vagabonder et voir tout ce qui fait l'originalité de la route.
Je recommande particulièrement cette partie de la 66 qui traverse l'Illinois.
Arrivés dans la banlieue de Joliet (la ville des Blues Brothers, que l'on aperçoit à un moment donné au détour d'une rue perchés sur le toit d'un marchand de glace) qui est elle même la banlieue de Chicago, les choses deviennent un peu plus compliqué, non pas le tracé de la route qui est toujours aussi bien indiqué et facile à suivre mais la circulation devient impossible tant il y a de voitures et de files d'attente à chaque croisement. En plus on galère pas mal pour trouver un hôtel convenable – on s'est arrêté le long d'un highway dans un hôtel pourave tenu pas un indou qui nous proposait une chambre pour 3 à 35$, fallait voir l'endroit et aussi le sentir, bref on a préféré laisser tomber malgré la pénurie. Finalement en reprenant le tracé de l'I-55 on trouve à une de ses sorties un motel tout à fait convenable, le Best Budget Inn de Joliet à 55$ la piaule avec le waï-faï gratos, ce qui ne gâche rien et me permet de vous approvisionner en informations toutes fraîches
En résumé, comme hier, nous avons parcourus environ 160 miles mais d'une extrême qualité, ça a été un régal à réaliser car il ne faut pas oublier que notre périple motocycliste arrive à sa fin et que après-demain matin, nous rendons les motos chez le loueur pour entamer un nouveau périple autour des lacs en voiture de location cette fois..on ne va pas se plaindre non plus, mais c'est vrai que c'est bien quand ça se termine par que du bon..Allez demain encore une cinquantaine de miles à faire pour arriver sur Chicago, nettoyer les bécanes à fond et c'est vrai qu'elles en ont grand besoin, louer la bagnole et enfin se loger à l'hôtel où nous étions le premier jour de notre arrivée, quel vaste programme !
Bonne nuit, il est 21h10 (4h10 à Lille) à demain.
Nous poursuivons via Dwight; Gardner, Godley, Wilmington vers Joliet, et à chaque fois il y a quelque chose à voir et à photographier le long de cette route. C'est vraiment le paradis de tous ceux qui aiment la mécanique en particulier et aussi les beaux endroits en général. En plus la route, qui se matin avait tendance à suivre le tracé de l'interstate s'en éloigne de plus en plus et ce n'est pas pour nous déplaire. Elle est quasi déserte si on compare à la circulation autoroutière et c'est vraiment reposant car on peut laisser son regard vagabonder et voir tout ce qui fait l'originalité de la route.
Je recommande particulièrement cette partie de la 66 qui traverse l'Illinois.
Arrivés dans la banlieue de Joliet (la ville des Blues Brothers, que l'on aperçoit à un moment donné au détour d'une rue perchés sur le toit d'un marchand de glace) qui est elle même la banlieue de Chicago, les choses deviennent un peu plus compliqué, non pas le tracé de la route qui est toujours aussi bien indiqué et facile à suivre mais la circulation devient impossible tant il y a de voitures et de files d'attente à chaque croisement. En plus on galère pas mal pour trouver un hôtel convenable – on s'est arrêté le long d'un highway dans un hôtel pourave tenu pas un indou qui nous proposait une chambre pour 3 à 35$, fallait voir l'endroit et aussi le sentir, bref on a préféré laisser tomber malgré la pénurie. Finalement en reprenant le tracé de l'I-55 on trouve à une de ses sorties un motel tout à fait convenable, le Best Budget Inn de Joliet à 55$ la piaule avec le waï-faï gratos, ce qui ne gâche rien et me permet de vous approvisionner en informations toutes fraîches
En résumé, comme hier, nous avons parcourus environ 160 miles mais d'une extrême qualité, ça a été un régal à réaliser car il ne faut pas oublier que notre périple motocycliste arrive à sa fin et que après-demain matin, nous rendons les motos chez le loueur pour entamer un nouveau périple autour des lacs en voiture de location cette fois..on ne va pas se plaindre non plus, mais c'est vrai que c'est bien quand ça se termine par que du bon..Allez demain encore une cinquantaine de miles à faire pour arriver sur Chicago, nettoyer les bécanes à fond et c'est vrai qu'elles en ont grand besoin, louer la bagnole et enfin se loger à l'hôtel où nous étions le premier jour de notre arrivée, quel vaste programme !
Bonne nuit, il est 21h10 (4h10 à Lille) à demain.
EH oui tout à une fin , mais que de souvenirs !!! pour en revenir aux commandes , si tu n'as pas été sur ta boite mail , je te rappelle que si tu trouves le kit supports reposes pieds arrière pour SANDRINE regarde bien si les écrous de fixations sont avec , sinon il faut les prendre , (2 ecrous pour chaque support qui les fixe sur le cadre et les ecrous et ressorts qui fixe les reposes pieds que j'ai déjà acheté à WARHEM ).
RépondreSupprimervoilà après ce petit rappel , nous vous souhaitons une bonne fin de voyage .
bisous et à demain
SANDRINE WALTER
Hello bikers quel plaisir de pouvoir vous lire en direct live et constater que tout se passe trin bin,je m'inquiéte caen mém pour Pat,elle a la tête qui penche tout à gauche!!! est tu devenu si épé mon capteigne road quel soie obligée de la tourner si fort pour voir la route en tant que passe en gére. Goodlacs,Nini et Fifi
RépondreSupprimerBons lacs en voiture ; ca reposera vos fesses !
RépondreSupprimerVous avez l'air en forme, avec de bien belles couleurs et un verre de margarita greffé à votre main... tout va bien ! Continuez
Biz
K